Oh qu’il est loin le temps où je postais régulièrement par ici ! Révolu ? Je ne sais pas. Mais je peux difficilement revenir par ici comme si de rien n’était ! Donc petit préambule pour la forme, vous m’excuserez. En réalité, ça me manque d’écrire ici et une mésaventure d’hébergement de domaine il y a quelques mois m’a prouvé que non, je ne suis pas prête à lâcher mon bébé blog plus vraiment bébé (7 ans déjà !)

Anyway, passage peut être éclair par ici mais je me devais de vous partager cette série de photos automnale avec ma très chère Laureen. Non seulement c’est un shoot un peu intimiste, réalisé à la maison. Et puis c’est un objet de désir fashion. Le fameux tailleur. Mais pas n’importe lequel ! Un tailleur trois pièces. Vous me connaissez, le vestiaire masculin est celui vers lequel je tends instinctivement. Je le trouve d’une coquetterie bien particulière, j’aime l’architecture des pièces, leur association, un peu comme une armure de l’ère moderne. Pour ceux qui me suivent depuis longtemps, vous avez d’ailleurs déjà vu une association similaire, et ce gilet en particulier (c’était il y a 5 ans déjà…)
L’occasion ? Un mariage. Et j’aime bien me saper vous aurez remarqué ! Je m’étais mis en tête de trouver quelque chose que je pouvais reporter au quotidien. Quoi de mieux qu’un tailleur ? Je n’avais pas assez de temps pour le faire faire sur mesure (je garde l’idée pour plus tard) mais j’avais encore quelques semaines pour écumer les eshops et trouver la perle rare. Ce fut chose faite en associant cette pépite vintage tissée de brocart écarlate et or et ce tailleur parfait couleur bordeaux voire même lie de vin.

L’occasion d’immortaliser ce tailleur bordeaux ? Un rendez-vous tout doux avec celle qui me photographie depuis plusieurs années maintenant et que j’aime compter parmi mes amies : Laureen. Une complicité créative, ça ne s’invente pas, ça ne s’improvise pas. C’est un peu magique de se comprendre à mi-mot et de produire ensemble quelque chose de beau. Enfin… ça, c’est à vous d’en juger ! Alors je vous passe le relais.

Crédits photo : Laureen D. Olympe Photography